J’ai 35 ans, 21 ans de troubles alimentaires, des séances avec une psychologue de 14 ans à 19 ans, des séances sporadiquement avec une autre psychologue passé la trentaine… Et toujours aux prises de cette vilaine créature jusqu’à…

Tout a commencé à mon entrée à l’internat à 14 ans (de mon propre chef). Une descente progressive vers l’oubli de soi, de mon corps, ne plus vouloir exister, jusqu’aux 37 kg quasi- fatals qui m’ont menée à l’hôpital! Une façon à moi de lutter contre ce sentiment d’abandon en essayant de dominer son corps! Lors des séparations avec mes proches, la nourriture a toujours été ma meilleure ennemie (anorexie) puis ma meilleure amie (hyperphagie). Cette dernière a succédé à l’anorexie à 19 ans. Afin de pouvoir sortir de l’hôpital, je devais atteindre 45 kg. Afin d’y arriver, j’avais 6 repas par jour. A cause de ce régime draconien, je suis devenue accro à la bouffe. Me remplir jusqu’à me rendre malade, comme un robot, pour compenser ce vide, pour ne plus penser, pour ne plus exister. Ce goinfrage jusqu’au boutisme a rythmé ma vie pendant 16 ans! 16 ans pendant lesquels je comblais tout vide, tout sentiment d’abandon, de tristesse, de solitude par 5-6 paquets de biscuits, des plaques de chocolats, des bonbons, des viennoiseries, des chips et j’en passe. Avaler, avaler, se remplir le ventre machinalement sans ressentir la satiété jusqu’à se rendre malade! Et je me croyais toute puissante après ces happenings avant de culpabiliser.

Peu après être devenue mère à 34 ans, il y avait toujours ce terrible malaise, cette relation malsaine avec la nourriture qui gâtait ma relation avec mon mari. Mon bébé ressentait également ce mal-être. Il était temps de trouver un moyen de guérir mais dégoûtée par les séances avec les psychologues, je partais déjà perdante! Je ne voulais pas redéballer pour la énième fois mon histoire pour rien, de nouveau espérer une guérison, mettre tous mes espoirs dans une nouvelle thérapie pour de nouveau repartir abattue et reprendre mes gloutonneries de plus belle.

Mon mari m’a alors suggéré l’EFT. Extrêmement sceptique au début, repoussant à chaque fois la prise de rendez-vous avec un praticien, j’ai fini par me lancer. Pourquoi ce scepticisme? Eh bien, je trouvais assez farfelue qu’une méthode utilisant le tapotage de points précis de certaines parties du corps puissent « faire des miracles ».

C’était le 24 novembre 2012! Première séance avec Caroline! Beaucoup d’appréhension et de stress! Jusqu’au dernier moment, j’ai voulu annulé ou repoussé cette entrevue mais mon mari était ferme à ce sujet. Impossible de faire machine arrière! Après la 1ère séance de 2h, le processus était lancé! Au fil des séances, j’ai constaté un changement intérieur et un mieux-être. J’ai continué les séances à raison d’une fois par semaine voir une fois toutes les deux semaines.
Mon problème étant l’abandon ayant été adoptée à un très jeune âge, Caroline m’a suggérée d’aller revivre cette période ensemble afin d’y faire un nettoyage complet, afin de la digérer et de pouvoir enfin aller de l’avant. Caroline a sû me guider, m’accompagner jusqu’au plus profond de mes maux, enlever ce couvercle qui les étouffaient depuis tant d’années, les guérir avec patience et empathie.
Mes séances ont pris fin le 26 avril, jour à marquer d’une croix blanche, jour marquant un renouveau, libérée de ‘la jungle’ alimentaire, libérée de mes maux. Sans l’EFT, je suis persuadée que je serais encore aux prises de l’hyperphagie.

Depuis lors, il y a eu quelques rechutes mais minimes par rapport à celles qui duraient des jours, des semaines, des mois, des années, pensant que la semaine suivante serait le moment idéal pour un nouveau départ après une orgie alimentaire saupoudrée de culpabilité. Ces petites rechutes ne m’ont pas entraînée dans l’abysse ô tellement habituel et dans le point de non retour, dans le ‘tant qu’à faire autant se goinfrer encore pendant des jours et des jours’,’ tout est foutu alors continuons à nous laisser-aller’, ‘il n’y a aucune voie de secours’, ‘restons esclave de la nourriture’… J’accepte désormais ces rechutes sans culpabiliser..

Je ne dis pas que la boulimie a totalement disparu de ma vie. Elle est une épée de Damoclès mais l’EFT m’aide désormais à mieux gérer mes émotions, à être dans l’instant présent, à ne plus fuir et à cacher mes maux sous la nourriture.

Un grand merci à Caroline pour tout, pour cet intense voyage vers la guérison…
Sophie (35 ans)

Maman m’a fait faire de l’EFT avec Caroline parce qu’elle trouvait que je ne parlais pas beaucoup.
En fait je ne me sentais pas à l’aise avec quelqu’un : je ne savais pas quoi faire, des fois j’étais en colère et je n’osais pas lui dire parce que j’avais peur des disputes.
Il y avait aussi quelque chose qui me paniquait "beaucoup (je ne veux pas dire ce que c’est ici)

Au début j’ai trouvé l’EFT très bizarre… mais c’était juste au début, parce qu’après je trouvais çà normal et çà me faisait beaucoup de bien.

Avec Caroline on a parlé de mes peurs et j’en avais des grosses qui m’empêchaient de m’endormir le soir, et aussi de me sentir bien avec les gens.
Pendant qu’on parlait de ce qui me faisait vraiment très peur, on a tapoté et je me sentais de mieux en mieux.
On a même rigolé et inventé un mot : « strerrifiant » (stressant + terrifiant) !

Au bout d’une heure, je n’avais plus peur du tout et j’étais vraiment bien.

Depuis je dors bien tous les soirs, je me sens mieux avec les autres, et tout va bien. Et puis quand j’ai un souci, je tapote toute seule et çà m’aide à le faire vite passer.

Si d’autres enfants ont peur, je veux leur dire que l’EFT c’est peut-être bizarre au début, mais çà marche super bien, j’ai aimé çà, et çà peut les aider comme moi.
Laly (11 ans)

Un très grand merci, ce matin, j’ai réussi à aller chez le dentiste sans avoir ni annulé, ni reporté le rendez-vous une seule fois, c’est la première fois que cela m’arrive en 10 ans, …je dis bien 10 ans.

Autre exploit, il m’a arraché 2 dents en une seule séance.

Je voudrais faire part non seulement de mon enthousiasme, mais de mon adhésion totale à la méthode EFT sans laquelle j’en serai encore à annuler, reporter, déplacer mes rendez-vous chez le dentiste.

Mes deux derniers rendez-vous se sont passés sans crise d’angoisse, ni de tétanie, ni de pleurs, ni cris, ni de « je suis allongée par terre dans le cabinet ».

J’ai réussi en deux mois ce que je n’avais pas fait en près de 10 ans, je ne sais pas comment le décrire tellement cela pourrait paraître huluberluesque !!!

Merci Caroline, je ne sais pas comment mieux m’exprimer.
Je vous autorise à publier mon avis sur votre site.
Yolande (55 ans)

Allergique aux chats pendant 22 ans :

J’ai toujours aimé les chats. Le mien s’appelait Indy et nos rapports étaient fusionnels. Suite à une morsure, Indy a contracté le sida des chats. Je l’ai soigné pendant un mois, jusqu’au soir où Indy est mort : j’avais 17 ans (j’en ai 39 aujourd’hui). C’est à ce moment-là que je suis devenu allergique aux chats.

J’ai beaucoup souffert de mon allergie qui non seulement me faisait couler le nez et démanger les yeux, mais surtout m’étouffait, rendant impossible l’idée même de dormir chez quelqu’un ayant un chat.

Les médicaments anti allergie me mettaient dans un état tellement désagréable que j’en était rendu à ne plus vouloir en prendre, et donc par conséquent, à ne plus pouvoir dormir chez quelqu’un possédant un chat.

Ma belle mère (que j’adore, mais qui vit avec un chat) m’obligea presque à faire de l’EFT. J’ignorais complètement ce que c’était à l’époque. Je pris rendez vous avec Caroline Lazare sans aucune conviction car je suis plutôt du genre incrédule.
Nous avons fait avec Mme Lazare une séance d’environ 1h30.

Chose incroyable, j’ai ensuite passé 4 jours et 4 nuits chez ma belle mère sans aucun symptôme d’allergie aux chats!

A vrai dire j’ai encore du mal à y croire. Il n’a fallu qu’une séance EFT d’1h30 pour me guérir d’une allergie que j’ai subie pendant 22 ans! Mme Lazare : MERCI!

Merci aussi à ma belle mère d’avoir eu cette bonne idée. Puisse t’elle ne pas trop m’en vouloir de toujours douter de tout.
Eric P.

J’avais entendu parler de l’EFT par une personne proche qui la pratiquait sur elle-même. Au début, je n’étais pas très emballée, ni convaincue car j’avais essayé toutes sortes de méthodes (psychothérapie, sophrologie et j’en passe) mais je n’avançais plus. J’ai décidé d’essayer quand même l’EFT en me disant que çà ne pouvait pas me faire de mal.

J’ai fait ma première séance en face à face avec Caroline, ce qui m’a permis d’être plus à l’aise.
J’ai travaillé sur ma séparation avec mon ex : chez moi je retrouvais des petits mots d’amour, des endroits, des habitudes… et tout çà me faisait très mal. J’étais triste et je culpabilisais.
Une fois le gros problème ciblé, Caroline a commencé la séance de tapotements, partie par partie. Et là, j’étais vraiment impressionnée du résultat : je n’étais plus triste du tout, et les mots d’amour par exemple ne me faisaient plus rien (plus de douleur, plus d’importance comme avant)

Une fois ce problème réglé, j’ai demandé à Caroline si on pouvait faire l’EFT sur une douleur, mais cette fois physique. Elle m’a répondu « bien sûr », et honnêtement je n’étais pas du tout convaincue. Donc je lui explique que çà faisait plusieurs jours que j’avais mal sur le côté de la nuque, que çà me tirait et que çà remontait dans le tympan qui me brûlait.
Ni une ni deux, on fait une séance de tapotage et là, un vrai miracle : plus aucun mal, plus aucun tiraillement et surtout plus aucune brûlure dans l’oreille !
Alors là messieurs dame, pardon pour l’expression, mais « j’étais sur le cul ! » car même avec des crèmes, des dolipranes, etc. çà me faisait vraiment mal et c’était inexplicable.

Depuis ce jour, je fais des séances par Skype et c’est vraiment génial !
Merci Caroline, et merci aussi à celle qui m’a conseillé l’EFT.
Et surtout, un petit conseil : osez le faire !
Aurore A.

Je voulais tester l’EFT avec une praticienne parce que j’en avais entendue parler et j’étais curieuse des résultats.

J’ai choisi Caroline pour trois raisons : premièrement, il me fallait une consultation par skype car je suis à l’étranger, deuxièmement, ses prix étaient compétitifs comparés à d’autres que j’ai pu constater et troisièmement, instinctivement je l’ai trouvé très chaleureuse et très humaine à travers son site internet.

J’ai donc pris mon rendez-vous un peu au hasard et je n’ai absolument rien regretté.
Entre les échanges de préparations et les échanges après séance, elle a été plus que disponible pour moi et je me suis vraiment sentie soutenue.

Mes deux heures de séances ont été aussi productives que si nous avions passé quatre bonnes heures ensemble !
J’ai donc pu découvrir l’EFT grâce à elle et je dois reconnaître que j’ai trouvé la séance très bénéfique. Je me suis sentie libérée après et très rapidement.

Enfin, j’avais peur d’entrer dans un cercle de prise de rendez-vous infinis et il n’en est rien. Une séance à suffi. Dans quelques mois j’en ferai un autre en fonction de mes besoins.

Je remercie donc infiniment Caroline pour l’échange que nous avons eu et j’encourage tous les curieux à tenter l’expérience. Ca vaut vraiment le coup !
Leslie M.

Même si la « technique » peut paraître surprenante au premier abord, elle n’en reste pas moins efficace. Merci pour cet accompagnement.
Yolande L.

J’ai expérimenté l’EFT avec Caroline pendant une année très dure au cours de laquelle j’ai perdu mon père et subi une intervention chirurgicale pour une tumeur dans la main

– La première séance en face à face m’a permis de me débarrasser de l’image obsessionnelle de mon père étendu sur le sol après son AVC.

A la fin de la séance l’image avait complètement disparu mais, comme j’enterrais mon père le lendemain, je n’ai mesuré l’ampleur du succès que plusieurs jours après.

– Plus tard, pendant mon deuil, j’ai fait une séance à distance par Skype, un jour où le chagrin et le manque étaient si intenses que je n’arrivais plus à me contrôler.

Très vite Caroline a fait retomber mon énorme pression à travers son questionnement bienveillant pour cerner mon problème. Elle s’est montrée douce et patiente si bien que j’étais moins réticente par rapport à la distance et j’ai oublié la caméra. La douleur a regressé et le calme est revenu.

– Je n’ai donc pas hésité à recontacter Caroline quand j’ai reçu un coup de téléphone du chirurgien m’annonçant que ce qu’il avait extrait de ma main était une tumeur mais qu’il fallait attendre deux mois pour savoir si elle était cancéreuse. J’étais effondrée et je me suis écroulée de panique.

Caroline m’a proposé une séance immédiate par Skype. Deux heures plus tard j’étais capable de faire tranquillement des courses et de bavarder avec des gens, sans larmes dans les yeux ni nœud dans la gorge, simplement un peu « sonnée ». Cette expérience m’a totalement bluffée ! Merci l’EFT.

Et merci Caroline : elle sait écouter, sa douceur rassure, son calme apaise et sécurise. Il émane d’elle une force tranquille qui fait un bien fou.
Françoise S.